Une assurance risque sert à vous dédommager s’il vous arrive un accident dans le cadre des incidents qu’elle permet de couvrir. L’assurance risque permet de couvrir certains de vos accidents qui sont déjà signés et cités dans le contrat d’assurance risque. L’assurance risque Cardif permet d’accompagner ses clients lors de la réalisation de leur projet.
C’est une assurance de plus en plus accessible, car le partenariat entre plusieurs collaborateurs permet de trouver une ou des solutions aux clients. Découvrons les avantages et les inconvénients d’une assurance risque Cardif, ce qu’il faut savoir sur la fiscalité, mais aussi comment souscrire à une telle assurance.
Qu’est-ce qu’une assurance risque Cardif ?
Un contrat d’assurance risque Cardif permet d’avoir accès à 3 types de supports qui sont les suivants :
- un fond en euro ;
- un fond euro-croissance ;
- en plus d’environ 650 supports en unités de compte.
Si le contrat d’assurance risque Cardif a pour support un fond en euro alors cela vous permet de placer votre argent créant une garantie de capital afin de vous couvrir en cas d’incidents.
Par contre, si le contrat d’assurance risque Cardif a pour support un fond en euro-croissent alors cela vous permet de placer votre argent, de le faire marcher à la banque en fonction du dynamisme du marché financier, et cela, pour un engagement de 10 ans.
Par ailleurs, si votre contrat a pour support les fonds en unités de compte, cela vous permet d’investir votre argent dans diverses compagnies de gestion comme les Rothschild par exemple.
Il est possible de résilier votre contrat en passant par la procédure classique, c’est-à-dire envoyer une lettre avec votre classique accusé de réception, mais il faut évidemment respecter les délais.
Comment souscrire à une assurance risque Cardif ?
Pour souscrire à une assurance risque Cardif, il s’agit de suivre des étapes bien précises et définies par les contrats d’assurances en général :
- investir un ticket minimum de 5000 euros ;
- possibilité d’y ajouter des versements libres de 2500 euros ;
- mais aussi des petits versements de 150 euros.
Les frais de versement sont de 4% de la somme versée. Pour les frais de gestion, cela dépend du support de fonds pour lequel votre contrat repose, voici un résumé explicatif sur le pourcentage concerné chaque type de support :
- les fonds en euro : 0.7 % ;
- les fonds en euro-croissance : 1.25% ;
- les fonds en unités de compte : 0.96%
Que faut-il savoir sur la fiscalité d’une assurance risque Cardif ?
Il faut savoir que la fiscalité de change pas peu importe le type d’assurance Cardif. Il existe trois cas de figures concernant la fiscalité de l’assurance risque Cardif :
- si votre contrat a moins de 8 ans ;
- si votre contrat a plus de 8 ans ;
- si vous décédez.
Pour le premier cas, un nouvel article du code des assurances est entré en vigueur en 2017, celui-ci impose que lors d’un prélèvement, les gains sont de 12% ou bien, cela est ajouté aux impôts pour 17 %.
Par contre, pour le deuxième cas, si vos versements atteignent les 150 000 euros, alors vous pourrez bénéficier d’une réduction de 7%. Si c’est plus, alors la réduction sera de 12 %. Sinon, vous pouvez opter pour l’option impôt.
Pour le troisième cas, il faut distinguer entre deux tranches d’âge. Si vous aviez moins de 70 ans, alors c’est votre conjoint (ou autre bénéficiaire selon le contrat), la taxe s’élève à 20% si votre capital compte entre 150 000 et 850 000 euros. Si c’est plus, alors la taxe s’élève à 30%. Si vous aviez plus de 70 ans, alors les gains ne seront pas taxés pour les bénéficiaires de votre contrat d’assurance risque Cardif.
Les avantages et les inconvénients d’une assurance risque Cardif
Il est important de voir clairement les avantages et les inconvénients quant à la souscription d’un contrat d’assurances risque Cardif. L’avantage principal est que c’est un type d’assurance qui contient divers supports de fonds, ce qui permet de bien réfléchir et d’avoir le choix, mais aussi de permettre à quasiment tout le monde d’en bénéficier. Par contre, les inconvénients sont que les frais de versement sont vraiment élevés, de même pour les frais d’arbitrage. De plus, certains types de fonds ne permettent pas la garantie.